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Vous venez d’apprendre le décès de votre conjoint, de vos parents ou de votre enfant. Vous êtes submergé par la tristesse, la colère et le chagrin, c’est tout à fait normal. Mais, sachez que chacun peut réagir différemment à la douleur.
Préparée, naturelle ou subite, la mort d’un proche est toujours un moment bouleversant dans la vie des familles. À leur tristesse vient s’ajouter le stress des formalités liées au décès.
Avant le christianisme, la crémation était répandue dans les civilisations comme le prouvent les urnes découvertes lors de fouilles archéologiques. Dès l’âge du Bronze, l’Homme a pratiqué ce rite funéraire, à l’image des lécythes de la Grèce Antique et des romains. D’ailleurs, ces derniers sont à l’origine du columbarium qui sert encore aujourd’hui à conserver les cendres des défunts.
Voir une dernière fois le défunt et en garder une belle image fait partie du processus du deuil. Il doit avoir, pour l’occasion, l’impression de dormir paisiblement. Ainsi, avant la veillée, des soins lui sont prodigués pour effacer les stigmates de la mort et ainsi réconforter les proches.
Inhumation ou crémation ? Face au décès d’un proche, vous êtes confronté à un choix intime, voire délicat. C’est d’autant plus compliqué s’il n’a pas laissé ses dernières volontés ou n’a pas souscrit de contrat d’obsèques de son vivant. C’est alors à vous qu’il incombe la décision du devenir de son corps qui sera déterminante pour la suite.
L'un de vos proches est en fin de vie ? Il vous est difficile de surmonter la perte d’un être aimé ? Ou vous avez tout simplement peur de la mort ?
À l’heure de la mondialisation, les membres d’une famille sont souvent dispersés aux quatre coins du monde pour le travail, les études ou le plaisir. Malheureusement, un décès peut survenir et il faut alors envisager un retour vers le pays natal.